Education/Formation

Publié Le 13 Decembre 2024 a 12:44

Il s'agit, entre autres, de l'élaboration et de la validation de 39 référentiels, la réforme des Certificats de Qualification professionnelle (CQP), la mise en œuvre de la formation par alternance, le renforcement des capacités des enseignants, la signature de nouvelles conventions avec le secteur privé.

L'on note la disponibilité de nouveaux curricula de formation, l'institution de l'Approche par Compétences (APC), la création de nouveaux parcours de formation, la progression de la proportion des filles dans les filières industrielles, passant de 13,72% en 2022 à 16,34% en 2023.

Les activités du partenariat ont permis de savoir qu'en 2023, l'enseignement technique a enregistré 72852 apprenants dont 8585 dans les séries industrielles et 64267 dans les séries tertiaires.

« Je pense qu'on a fait un saut en maturité. On a, non seulement amélioré l'accès aux formations techniques et professionnelles, mais on a amélioré aussi le genre puisqu'on a vu que la gent féminine est mieux impliquée dans ce type de formation. Et puis globalement, le système de l'enseignement technique, de la formation professionnelle et de l'apprentissage est de plus en plus en adéquation avec les attentes du secteur privé », s'est réjoui le premier vice-président du CPP, Patrick Ismaila M'Bengue.

Quant à Antoine Taho, secrétaire exécutif du CPP, il a dit que le partenariat ministère-secteur privé va « dans la bonne direction ».

« Tout ce que nous faisons est guidé par la vision du ministre N'Guessan Koffi qui est de repenser et de revaloriser l'enseignement technique et la formation professionnelle », a-t-il rappelé. Ce, en présence de l'inspecteur général coordonnateur général du ministère, Sainy Kouakou Kouamé, du président du Conseil national des branches professionnelles, N'Dri Koffi, et autres.

CICG